Résumé
La station unique de la Manifestation de Dieu et la signification de la révélation deviennent évidentes quand la révélation de Bahá’u’lláh annonçant en même temps la fin du monde et la naissance d’une nouvelle création est située dans un contexte du dix neuvième siècle, entourée par l’eschatologie de Hegel à ses débuts et celle de Nietzsche à sa fin. Cet article essaye de situer et d’explorer dans le contexte prophétique de la résurrection et du retour comme interprété par Bahá’u’lláh, dans le Kitáb-i-Íqán, les origines spirituelles de la conscience planétaire dont dépends maintenant la survie de l’humanité et le globe même, en comparant l’eschatologie de Bahá’u’lláh avec celle d’Hegel et celle de Nietzsche. On attache une importance primordiale à l’étude de la situation et de l’exploration de ces origines par la lecture approfondie d’une tablette de Bahá’u’lláh, «Le Printemps Divin est venu, ô très Sublime Plume...»
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