Résumé
Le roman de E. S. Stevens, The Mountain of God, est remarquable parce qu’il rapporte des impressions de la communauté bahá’íe à ‘Akká et à Haiti, en 1911. Cet essai emploie des éléments de critique littéraire jungienne pour démontrer comment les deux personnages principaux du roman traversent un processus d’individuation qui pourrait bien les amener à accepter les enseignements de Bahá’u’lláh. Par l’utilisation d’un langage symbolique, Stevens démontre que l’évolution de ces personnages résulte des influences spirituelles en Terre Sainte. La critique littéraire jungienne, par l’examen de concepts développcs par Carl G. Jung, tente d’expliquer le but des oeuvres d’art symboliques dans la vie psychique d’une société donnée ainsi que leur signification psychique. Une telle critique vise à ajouter une nouvelle dimension à l’oeuvre littéraire.
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