Résumé
La « faculté de réflexion » est décrite par Bahá’u’lláh comme « la source des métiers, des sciences et des arts » et comme une
« mine idéale » d’où jailliront « de telles perles de sagesse et d’éloquence qu’elles pourront promouvoir le bien-être et l’harmonie parmi tous les peuples de la terre » (Bahá’u’lláh, Les Tablettes de Bahá’u’lláh, 75). Cette faculté de réflexion individuelle et collective a été aussi de plus en plus utilisée au sein des institutions de gouvernance. Le présent article commence par une exploration de ce que l’on pourrait décrire comme une nouvelle approche de « réflexion décentralisée » selon laquelle les communautés locales prennent part à des délibérations sérieuses pour arriver à une meilleure compréhension de leur réalité, célébrer les réalisations, analyser les défis, apprendre de l’expérience et planifier les prochaines étapes.
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