Résumé
L’art est le rejeton naturel d’une société; la musique, lo littérature, le théâtre, les arts visuels et l’architecture qui la distinguent émergent durant sa maturation. Le présent essai explore l’importance spirituelle du rapport entre les formes traditionnelles et nouvelles de l’expression artistique d’après l’expérience de l’auteur comme architecte. Créér une oeuvre d’art équivaut, pour un bahá’í, à un acte d’adoration. Durant l’ère bahá’íe, la vérité abstraite revêtira pour les artistes une dimension nouvelle. La maîtrise d’un art quel qu’il soit nécessite une discipline rigoureuse, un fait souvent méconnu uu sous-estimé. Si les artistes sont en avance par rapport à leurs contemporains, ils doivent s’efforcer de faire voir aux autres le monde qui se révèle déjà à eux. Lorsque l’impact de la révélation bahá’íe pour les arts sera pleinement perçue, les artistes se tourneront vers cette religion, y voyant une nouvelle voie permettant d’explorer des mondes spirituels.
Cette œuvre est sous licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International.
(c) Tous droits réservés Fariburz Sahba 1997